Après le meurtre d'une joggeuse nîmoise et l'arrestation très rapide de son meurtrier, on rappelle le scandale, vite étouffé, du labo qui il y a quelques années trouvait des traces de poudre sur les manches de suspects et en faisait donc des coupables: normal, puisque le labo touchait une prime en cas de résultat positif.
Le laborantin qui avait dénoncé ces faits avait été viré.
Espérons que la même pratique n'a pas cours avec la présence de traces d'adn !
Rajoutons aussi que trouver un coupable, c'est toujours bon pour sa carrière de flic ou de magistrat ...
Ah ! Nîmes ! que des bons souvenirs (voir lien dans la colonne de droite).
Une occasion de rappeler aussi que, sur une petite route de campagne (terme approprié), le candidat Gilbert Baumet s'était tiré une balle dans la guibole pour faire endosser l'agression par ses adversaires de gauche. Dommage qu'il ne se soit pas tiré une balle dans la tête.
Et que le toubib Mounir Benslima, fidèle sbire des ripoux nîmois (il demanda l'internement de Jo après un prétendu examen préalable qui n'a jamais eu lieu), se trouvait "par hasard " derrière la bagnole de Baumet - ben(slima) voyons !- pour le soigner.